Il arrive souvent, en coaching comme on pourrait le dire aussi en politique ou ailleurs, que la volonté et la persévérance ne soient désormais pas suffisantes. Cela même si vous croyez énormément en vous et que vous avez une bonne estime de soi, une affirmation de soi exemplaire, des dons particuliers ou un charisme extraordinaire.  

Même si vous vous considérez chanceux, que vous avez toutes les qualités du monde, l’expérience, la formation et des diplômes ou des ressources suffisantes. Puis, pour en ajouter et , comble de désarroi, l’aide que vous avez demandée ne convient pas à vous faire progresser ne serait-ce qu’un tout petit pas. C’est comme si vous pédaliez dans le vide. Vous vous dites : « Mais c’est quoi le problème ? Il me semble que j’ai tout pour réussir et ça ne fonctionne pas. » 

C’est pourquoi en conciliant la science, la connaissance et la foi ou la métaphysique par l’expérimentation de la conscience de notre esprit, nos forces seront décuplées et les possibilités multipliées dans un effet exponentiel. Nous avons tous à l’intérieur de soi la possibilité d’avoir accès à notre nature propre, à notre essence divine en développant sa conscience qui nous informe.

Alors, tout s’anime autour de cette énergie qui fait que tout se tient dans un mouvement continu. C’est pourquoi simplement avoir recours à nos capacités intellectuelles, à nos capacités physiques ne suffit pas. De cette façon, nous nous limitons en plus de dépenser un maximum d’effort pour terminer épuisés, las et lessivés de toute ambition personnelle.

En fait, la volonté, la persévérance, la force, le courage et la synchronicité favorables pour soi proviennent de notre confiance en la vie, en l’univers, en un Dieu, appelez-le comme vous voulez, mais soyez-en conscient bon sens de cet esprit qui vous habite. Cette proximité entre l’homme et Dieu à un certain égard parvient à se confondre l’un dans l’autre pour finalement permettre une réalisation intermédiaire entre eux.

Alors tout devient possible, la lumière se fait, les choses se règlent souvent d’elles-mêmes, l’espérance renaît, permet une trêve, puis un second souffle surgit de nulle part, cette énergie pour poursuivre nous vient d’on ne sait où, mais elle vient.

Dans le détachement, tout devient possible et la métamorphose du papillon peut s’opérer. Tout laisser derrière soi et partir à l’aventure, ressentir profondément le sentiment de liberté. Laisser le passé, vivre l’instant présent dans une perspective d’avenir sans savoir où tout cela va nous mener. Éveiller notre esprit à la prise de conscience nous libère.

D’abord cela nous connectera avec notre intérieur et nous purifiera du négatif en nous rendant aptes à discerner les synchronicités de la vie. Certaines conditions sont nécessaires pour éveiller notre esprit : la confiance et la foi. Pour entreprendre notre voyage, ces deux éléments sont capitaux. La conscience nous permettra de faire l’expérience de ne faire qu’un avec l’univers, avec Dieu. Tout ce qui nous arrive est dû à notre esprit. Donc notre voyage sera ponctué d’événements selon notre état d’esprit. Tout ce qui nous arrive est dû à l’état de conscience de notre esprit.

Ce processus d’apprenti-sage de notre évolution se fait par des états de conscience. Dans ce sens, pour que les enseignements se succèdent l’un à l’autre, nous nous devons d’assumer tout ce qui nous arrive, de se responsabiliser, d’accepter ces événements comme des expériences de vie.

Pour découvrir les beautés de la vie, ce qu’il nous reste à faire est de transcender les limites de notre zone de confort. Ces qualités requises à l’état de conscience de notre esprit sont plus que nécessaires, elles sont vitales pour nous permettre d’aller jusqu’au bout. Tant que vous n’aurez pas tout expérimenté, vous ne pourrez pas dire que vous avez tout essayé. Ce qui est malheureux est que cette option est souvent la dernière que nous prenons, nous nous disons : « je vais y arriver tout seul, par mes propres moyens, moi ce n’est pas pareil, je vais trouver… »

Mais, à un moment donné l’ego lâche, le mental à lui seul ne suffit plus à la demande et relâche ; il cède finalement, non pas sans se débattre sous le poids du fardeau, à un sentiment d’impuissance, il lâche prise puis s’abandonne à une puissance supérieure à lui-même. Comme c’est curieux que la réaction est de se sauver les jambes à son cou dès qu’on nous offre un coup de main, non ? Mais aisément, cela se fait parce qu’on doit le découvrir par soi-même. Faites vos expériences de conscientisation de votre esprit, mais ne tirez pas trop sur l’élastique.

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